L’intellectualisation des appréciations de Quine

Introduit dans ce monde à Akron, Ohio, Quine était, avant sa perte de vie le jour de Noël 2000, largement considéré comme le plus grand philosophe américain. Ses premiers travaux ont été puissants dans le raisonnement statistique, mais il est devenu célèbre avec un article publié en 1951 intitulé Two Dogmas of Empiricism. Maintenant considéré comme un intemporel du 20e siècle et étudiant de rigueur pour les élèves d’approche presque partout, cet article a attaqué les présomptions existantes de la métaphysique empiriste, alors largement organisée et principalement commercialisée par son excellent copain et tuteur, Rudolph Carnap. Dans plus de 20 livres et de nombreux autres articles, Quine a continué à développer et à exposer un plan philosophique systématique dont le niveau et l’ampleur n’ont pas été observés étant donné que les jours des fantastiques métaphysiciens des 18e et 19e siècles. La clé de l’imagination de Quine est le siège de la science, alors qu’il l’a dit «le dernier arbitre de la vérité». Seule la science peut nous informer sur le monde, et l’une des choses qu’elle nous informe est le fait que nos informations dans le monde entier sont limitées et limitées à des stimulations sensorielles. Quine est l’archi-empiriste, rejetant l’activité éprouvée de l’empirisme et du rationalisme de Kant pour fonder la métaphysique dans Two Dogmas et tout au long de ses fonctions ultérieures, encapsulées principalement à l’intérieur du terme et de l’article abstrus (1960) et du spectateur beaucoup plus – amical La recherche de la réalité (1990). Par Two Dogmas, Quine attaque deux présomptions non empiriques dans le plan positiviste. Tout d’abord, la pensée originaire de Kant il existe deux variétés différentes de propositions, analytiques – considérées comme vraies en vertu du seul sens (par exemple, «  tous les célibataires ne sont pas mariés  ») et synthétiques – propositions considérées comme réelles ou fausses. selon la situation sur la planète (qu’il pleut, par exemple, ou que George Bush est le président des États-Unis). Deuxièmement, Quine rejette la supposition positiviste selon laquelle le sens d’une entreprise peut être abaissé pour parler de stimulations sensorielles. Quine montre de manière convaincante qu’aucune proposition ne peut être vraie indépendamment de l’expertise, mais aussi que ce concept d’entreprise ne doit pas être vérifié indépendamment de votre «réseau de croyances» dont il fait partie. Ce site de perception est lui-même conditionné par une expérience pratique sensorielle. Néanmoins, la rencontre ne peut pas être dissociée de votre idée à travers le monde employée pour l’expliquer. Dans Term and Subject, Quine se développe sur des concepts antérieurs développant sa conception de la philosophie et de l’épistémologie en tant que création d’idées technologiques, conditionnée mais non basée sur l’expérience sensorielle. Il construit sa critique de l’idée de quels moyens a commencé avec toute la grève de l’analyticité dans Two Dogmas, avec une écrasante expérience de pensée visant à affaiblir l’idée de synonymie ou de similitude de sens. Quine envisage une situation difficile de traduction linguistique radicale où un linguiste de l’industrie, confronté à des mots indigènes complètement inconnus, doit transférer son propre système conceptuel étant une théorie afin de faire ressentir le comportement des indigènes, étant donné que les actions de vous-même sous-estiment tristement le connotations potentielles dans les propos des indigènes. Si l’importation d’un plan conceptuel est requise pour la traduction, il s’ensuit que le sens est relatif au traducteur et que le concept de similitude, ce qui signifie sur divers manuels de traduction, s’évapore.

La résilience des Indiens Sioux : Un héritage de force et de persévérance

Les Indiens Sioux, également connus sous le nom de Lakotas, sont un groupe autochtone indigène d’Amérique du Nord, dont l’histoire est marquée par des épreuves et des difficultés. Dans cet essai, nous examinerons la résilience remarquable des Indiens Sioux face à l’adversité et la manière dont ils ont maintenu leur identité culturelle et leur esprit communautaire malgré les défis auxquels ils ont été confrontés.

Premier argument : La résistance face à la colonisation
Les Indiens Sioux ont été confrontés à l’expansion coloniale européenne qui a mené à la perte de leurs terres ancestrales et à la suppression de leur mode de vie traditionnel. Malgré cela, ils ont montré une résistance farouche en défendant leur territoire et leur mode de vie. Des leaders tels que Sitting Bull et Crazy Horse ont joué un rôle clé dans la résistance contre l’occupation européenne, et leur héritage continue d’inspirer les générations suivantes.

Deuxième argument : La préservation de la culture et des traditions
Malgré les tentatives de déracinement culturel, les Indiens Sioux ont réussi à préserver leur culture et leurs traditions. Leurs pratiques spirituelles, leurs cérémonies, leur artisanat et leur langage ont été transmis de génération en génération. Les Sioux attachent une grande importance à l’enseignement de leur histoire et de leur patrimoine aux jeunes, ce qui renforce leur identité et leur résilience collective.

Troisième argument : L’engagement envers la souveraineté et l’autonomie
Les Indiens Sioux ont lutté pour retrouver leur souveraineté et leur autonomie en tant que nations distinctes au sein des États-Unis. Ils ont travaillé activement pour protéger leurs droits, leurs terres et leurs ressources naturelles, et ont obtenu des victoires juridiques significatives dans cette quête. L’engagement envers leur souveraineté renforce leur résilience en leur donnant la capacité de prendre des décisions qui soutiennent leur communauté et leur avenir.

Réfutation des contre-arguments :
Certains pourraient soutenir que la résilience des Indiens Sioux est le résultat de la force intrinsèque de leur culture. Cependant, il est important de reconnaître que la résilience des Sioux a également été nourrie par leur engagement collectif, leur solidarité communautaire et leur détermination à préserver leur identité malgré les pressions extérieures.

Conclusion :
La résilience des Indiens Sioux est un témoignage de la force et de la persévérance humaines face à l’adversité. Leur résistance contre la colonisation, leur préservation de la culture et des traditions, ainsi que leur engagement envers la souveraineté et l’autonomie sont autant de preuves de leur détermination à préserver leur héritage et à façonner leur avenir. Les Indiens Sioux sont un exemple inspirant de résilience pour le monde entier, rappelant l’importance de respecter et de célébrer la diversité culturelle et la persistance des peuples autochtones.

L’Éthique des Frappes Aériennes

Tout au long de l’histoire, les avions des forces armées ont joué un rôle crucial dans les affrontements, modifiant la dynamique de la guerre et remodelant le champ de bataille. Depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, l’aviation militaire a considérablement évolué, permettant aux nations de projeter leur puissance, d’effectuer des reconnaissances et de porter des coups dévastateurs à leurs adversaires. Dans cet article détaillé, nous nous pencherons sur les multiples facettes de l’utilisation des avions militaires dans les conflits, sur leur signification idéale et sur leur impact sur la guerre actuelle.

Les racines de l’aviation militaire remontent au début du XXe siècle, avec des pionniers tels que les frères Wright qui consommaient le vol. Lorsque la Première Guerre mondiale a éclaté, les avions ont été utilisés à des fins de reconnaissance, pour repérer les positions ennemies et coordonner les frappes d’artillerie. Avec les progrès de l’innovation technologique et de l’architecture, des avions de combat ont été conçus, donnant naissance aux dogfights et à la guerre de l’oxygène à l’atmosphère.

Les avions des services militaires remplissent une myriade de rôles stratégiques dans les conflits. Les avions de combat parviennent à obtenir la supériorité des flux aériens, à intercepter les aéronefs ennemis et à offrir un soutien aérien rapproché aux forces terrestres. Les bombardiers peuvent délivrer des charges utiles destructrices, en se concentrant sur les structures et les installations de l’armée ennemie. Les avions de reconnaissance recueillent des informations vitales, permettant une meilleure prise de décision sur le champ de bataille. Les fonctions de ravitaillement en vol étendent le rayon d’action et la puissance des aéronefs, tandis que les avions de transport facilitent les mouvements de troupes et d’équipements.

L’obtention de la supériorité atmosphérique a été un objectif essentiel dans les conflits. Dominer le ciel offre un avantage significatif, permettant de contrôler l’espace de combat, de lancer des frappes aériennes et de perturber les mouvements de l’adversaire. Les avions des forces armées dotés d’une avionique avancée et de technologies furtives ont encore souligné l’importance de la supériorité de l’atmosphère dans les combats modernes.

L’utilisation d’avions militaires pour les bombardements aériens a eu un impact considérable sur les enjeux. Depuis les stratégies de bombardement de la Seconde Guerre mondiale jusqu’aux frappes précises effectuées avec des munitions guidées dans les conflits modernes, les bombardements aériens sont devenus un instrument puissant pour réduire les infrastructures et le moral de l’ennemi. Cependant, il soulève également des questions honnêtes concernant les dommages causés à la sécurité et les victimes civiles.

L’avènement des véhicules aériens sans pilote (UAV) ou drones a transformé l’aviation militaire. Les drones offrent des avantages uniques, tels que la réduction des risques pour les pilotes, une grande endurance et des capacités de reconnaissance accrues. Les drones armés ont joué un rôle déterminant dans les assassinats ciblés et les opérations de lutte contre le terrorisme, mais ils ont également suscité des débats sur l’éthique du combat à distance.

Malgré leur domination, les avions de l’armée rencontrent diverses difficultés et vulnérabilités. Des systèmes anti-avions sophistiqués peuvent constituer des menaces importantes, même pour les avions les plus sophistiqués. La guerre électronique, les cyber-attaques et les capacités anti-satellites ont accru les questions relatives aux vulnérabilités potentielles de la guerre moderne de l’oxygène.

L’avenir de l’aviation militaire semble prometteur. Les progrès en matière de capacité d’apprentissage artificiel, de technologies hypersoniques et d’aéronefs autonomes façonnent la prochaine génération d’avions militaires. En outre, l’idée d’intégrer les domaines des flux aériens, de la terre, bapteme en avion de chasse des océans et des salles – connue sous le nom d’opérations multi-domaines – est le moteur de la progression des méthodes d’aviation des forces armées.

L’utilisation d’avions militaires dans les conflits a été un élément déterminant des combats modernes. De la reconnaissance et de la supériorité des flux aériens aux bombardements aériens et aux drones, l’aviation militaire a remodelé la manière dont les pays projettent leur puissance et s’engagent dans la guerre. Au fur et à mesure que la technologie progresse, l’aviation militaire jouera certainement un rôle de plus en plus important dans les conflits à venir, avec des débats permanents sur l’éthique, la technique et l’évolution réelle de la guerre.

L’extrémité du Liban : Les étapes de la décadence

Le Liban, autrefois surnommé le « Paris du Moyen-Orient », a tragiquement sombré dans un état de lutte et de problèmes profonds. Cette nation qui a connu le succès, réputée pour son histoire abondante, sa culture variée et sa vie moderne dynamique, se trouve aujourd’hui aux prises avec une série de défis interdépendants qui menacent sa présence même. De l’instabilité politique à l’effondrement économique, en passant par l’agitation sociale et les catastrophes environnementales, le déclin du Liban est la triste histoire d’une nation prise au piège d’une spirale descendante.

Pour comprendre la situation actuelle du Liban, il faut examiner son histoire complexe. Avec une population diversifiée composée de différents groupes ethniques et confessionnels, le système de gouvernance sectaire du Liban a longtemps été une source de tension. Ce système, conçu pour maintenir un fragile équilibre des pouvoirs, a souvent engendré des divisions politiques et des conflits sectaires.

L’instabilité gouvernementale chronique est l’un des principaux éléments contribuant à la disparition du Liban. La corruption, le népotisme et l’inefficacité de la gouvernance affectent le pays depuis longtemps, érodant la confiance du public et exacerbant les disparités socio-économiques. L’absence d’un gouvernement opérationnel a entravé la production de politiques d’assurance et la prise de décisions efficaces, exposant le Liban à des pressions internes et externes.

L’effondrement financier du Liban est un autre élément critique de sa disparition. La combinaison d’une mauvaise gestion, d’une corruption endémique et de politiques d’assurance économique non viables a conduit le système économique du pays au bord de l’effondrement. La dévaluation de la livre libanaise, la montée en flèche du coût de la vie et le chômage généralisé ont plongé de nombreux Libanais dans la pauvreté et le désespoir.

Les obstacles socio-économiques auxquels le Liban est confronté ont atteint des proportions catastrophiques. Les services de base tels que les soins médicaux, l’éducation et l’électricité se sont considérablement détériorés, laissant la population vulnérable et sans accès aux sources essentielles. La classe moyenne, autrefois pilier de la stabilité, a été décimée, exacerbant les inégalités interpersonnelles et alimentant le mécontentement.

Le tissu social libanais continue d’être déchiré par des vagues de protestations et de manifestations. Frustrés par les hautes sphères politiques et leur indifférence manifeste à l’égard de la population, les résidents libanais sont descendus dans la rue pour protester contre les changements systémiques. Ces manifestations ont généralement été réprimées et malmenées, ce qui a encore érodé la confiance du public et aggravé les divisions au sein de la société.

L’effondrement du Liban ne peut être dissocié des dynamiques régionales et géopolitiques à l’œuvre au Moyen-Orient. Le pays est devenu un champ de bataille pour les puissances régionales, les tensions sectaires et les affrontements par procuration exacerbant ses vulnérabilités. La crise actuelle des réfugiés syriens a également mis à rude épreuve les actifs du Liban et alourdi son infrastructure délicate.

Le Liban a été ravagé par une série de calamités environnementales, ce qui a aggravé sa situation déjà désastreuse. L’explosion dévastatrice du port de Beyrouth en août 2020, l’une des plus grandes explosions non nucléaires de l’histoire, a laissé la ville en ruines et a fait de nombreuses victimes. En outre, la pollution de l’air, la déforestation et la croissance anarchique ont mis à mal les ressources naturelles du Liban, exacerbant ainsi la crise écologique.

La communauté internationale s’est interrogée sur la meilleure façon d’aider le Liban en ces temps difficiles. Une aide humanitaire et financière a été fournie, mais la voie du redressement reste ardue. Des appels à des réformes politiques et économiques, à la transparence et à la responsabilité ont été lancés dans le monde entier, invitant les dirigeants libanais à s’attaquer aux causes profondes de la crise.

L’effondrement du Liban est l’histoire déchirante d’une nation mise à genoux par une multitude de problèmes interconnectés. La convergence de l’instabilité politique, de l’effondrement économique, des troubles interpersonnels, des tensions localisées et des problèmes environnementaux a brisé le tissu social du pays et laissé ses habitants désillusionnés. La reconstruction du Liban nécessitera un leadership visionnaire, une gouvernance inclusive et des réformes complètes qui s’attaquent aux problèmes systémiques qui affectent gravement la nation depuis des décennies. Ce n’est que grâce à des efforts concertés, tant au niveau national qu’international, que le Liban pourra renaître de ses cendres et reprendre la place qui lui revient, celle d’une lueur d’espoir au Moyen-Orient.

La Magie des Épices en Cuisine

La cuisine est un art qui fait appel à tous nos sentiments, et l’un des domaines les plus fascinants de la recherche culinaire est l’utilisation novatrice des assaisonnements. Les épices font déjà partie intégrante de la culture humaine depuis des années, ajoutant de la profondeur, de l’arôme et de la complexité aux plats. Le plaisir de cuisiner avec des épices devrait aller bien au-delà de la simple amélioration des saveurs ; il s’agit d’un voyage sensoriel qui captive nos papilles gustatives, évoque la nostalgie et offre une porte d’entrée vers la découverte de nouvelles perspectives culinaires. Cet essai explore les multiples façons dont l’incorporation d’épices ou d’herbes aromatiques rehausse le plaisir de la préparation des aliments et la transforme en une expérience passionnante.

Les épices et les herbes ont la capacité extraordinaire de transformer le parfum d’un plat. Lorsque le son très chaud des épices atteignant une poêle brûlante emplit l’air, nos détecteurs olfactifs sont instantanément mis en éveil. Les épices parfumées comme la cannelle, le cumin ou la cardamome infusent la cuisine de senteurs attrayantes qui évoquent des sentiments de confort et d’anticipation. L’odeur qui s’en dégage ne se contente pas d’attiser notre envie de manger, elle nous transporte aussi dans des contrées lointaines, nous reliant à l’abondante tapisserie des traditions culinaires du monde entier.

Les épices ou les herbes sont les maestros qui exécutent une symphonie de saveurs dans nos repas. Chaque épinette a sa propre personnalité, et leur mélange harmonieux peut transformer une simple recette en un chef-d’œuvre culinaire extraordinaire. Qu’il s’agisse de la chaleur du gingembre dans une poêlée, du piquant de l’ail dans une sauce pour nouilles, ou même de la température délicate des piments dans un curry, les assaisonnements éveillent nos papilles gustatives, les séduisant par leur complexité et leur variété. L’équilibre et l’interaction des saveurs obtenus grâce aux combinaisons d’épices permettent à une recette d’atteindre de nouveaux sommets et de laisser une impression durable sur nos palais.

Les épices et les herbes portent en elles l’histoire et l’héritage culturel de divers territoires à travers le monde. L’utilisation de différentes épices nous permet de découvrir les traditions culinaires de diverses cultures et d’établir un lien plus profond avec elles. Le simple fait d’utiliser des épices peut évoquer un sentiment de nostalgie, produits de saison en nous rappelant des souvenirs d’enfance ou les odeurs qui émanaient de la cuisine de notre grand-mère. Cuisiner avec des épices ou des herbes devient un moyen d’honorer nos racines et d’entreprendre un voyage culinaire qui transcende les frontières.

La préparation des aliments à l’aide d’assaisonnements offre une méthode de créativité et d’expression personnelle dans le domaine des arts culinaires. Les épices agissent comme une peinture sur la toile du chef, lui permettant d’expérimenter une variété de saveurs et de produire des plats uniques et innovants. La grande variété d’assaisonnements disponibles offre des possibilités infinies, permettant aux cuisiniers amateurs comme aux chefs cuisiniers professionnels de créer des chefs-d’œuvre culinaires qui reflètent leur style et leur personnalité. Le plaisir de tester les épices réside dans la découverte de combinaisons gustatives inattendues et dans la satisfaction de développer quelque chose de vraiment exceptionnel.

Au-delà de leurs propriétés gustatives, les assaisonnements offrent également une multitude de bienfaits pour la santé. De nombreuses épices ont des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antimicrobiennes qui contribuent au bien-être général. Le curcuma, par exemple, contient de la curcumine, un composé réputé pour ses effets anti-inflammatoires, tandis que la cannelle continue d’être associée à une meilleure gestion de la glycémie. Le fait de savoir que nos chefs-d’œuvre culinaires ne procurent pas seulement du plaisir, mais qu’ils contribuent également à notre santé physique, apporte une touche supplémentaire de satisfaction totale à l’expérience de la préparation des aliments.

La préparation des aliments avec des épices est une expérience qui fait appel à nos sens, nous met en contact avec différentes cultures et nous permet d’exprimer notre ingéniosité. La satisfaction tirée de l’utilisation des épices dans vos projets culinaires est multiple, englobant les parfums alléchants, la symphonie des saveurs et les liens ethniques qu’elles évoquent. En outre, les bienfaits des épices pour la santé sont une raison supplémentaire de les intégrer dans notre cuisine.

Les risques pour les pilotes d’avions de chasse

L’utilisation d’avions de chasse par les armées du monde entier est devenue de plus en plus courante au cours du siècle dernier. Ces avions sont capables d’atteindre des vitesses et des altitudes élevées, ce qui leur permet d’effectuer une variété de tâches allant de la reconnaissance et de la sécurité au combat aérien et aux assauts au sol. Cependant, toutes les armées du monde n’ont pas accès aux avions de chasse, et certaines spécifications doivent être respectées pour qu’une armée puisse les utiliser avec succès.

L’une des principales conditions pour que l’armée dispose d’avions de combat est un investissement important dans la technologie et l’infrastructure. Les avions de combat MMA sont des appareils très sophistiqués qui nécessitent un niveau très élevé d’entretien et d’assistance pour les maintenir en état de fonctionnement. Cela comprend la création d’installations d’entretien spécialisées, de hangars et de pistes, ainsi que la formation de techniciens et de mécaniciens compétents capables d’effectuer des réparations et des mises à niveau complexes.

Une autre nécessité pour une armée de disposer d’avions de chasse est de disposer d’une solide méthode de défense aérienne. Les avions de chasse sont souvent utilisés pour des combats air-air, ce qui signifie qu’ils doivent être capables de fonctionner dans un espace aérien contesté sans être abattus par un avion ennemi ou des missiles surface-air. Cela nécessite une force de défense de l’atmosphère bien entraînée et bien équipée, capable d’offrir une couverture et un soutien aux avions de chasse dans l’accomplissement de leurs missions.

Outre la technologie et la structure, une armée doit également disposer d’une réserve importante de pilotes et d’employés de soutien compétents afin d’utiliser efficacement les avions de chasse. Cela implique un investissement important dans la formation et l’entraînement, ainsi que dans le développement professionnel continu et le mentorat, afin de garantir que les pilotes d’avion et le personnel de soutien puissent maintenir les plus hauts niveaux de compétences et de préparation.

En outre, L-39 Toulouse une armée doit avoir une connaissance claire des rôles stratégiques et tactiques que les avions de combat peuvent jouer dans les combats modernes. Il s’agit notamment de créer une doctrine et des tactiques qui tirent parti des capacités uniques des avions de chasse, et d’intégrer ces appareils dans les opérations et les campagnes plus larges de l’armée.

Enfin, une armée doit disposer d’une base financière solide pour soutenir l’acquisition et l’exploitation d’avions de combat. Ces avions sont extrêmement coûteux à l’achat et à l’entretien, et nécessitent des dépenses permanentes afin de les maintenir à la pointe de la technologie et de l’équipement. Cela nécessite un engagement à long terme de la part des autorités et des dirigeants militaires pour allouer les ressources et le financement nécessaires à l’exploitation des avions de chasse.

En conclusion, l’utilisation d’avions de combat par les armées du monde entier est une entreprise complexe et difficile qui nécessitera des investissements importants en termes de technologie, d’infrastructure, de personnel et de fonds. Seules les armées capables de répondre à ces spécifications seront en mesure d’exploiter efficacement les avions de combat mma et de tirer parti de leurs capacités uniques dans les combats modernes.

Pierre Abelard

Selon sa propre estimation, le savant français Peter Abelard «confondait chacun des acquis de l’époque» avec ses réflexions philosophiques. A la taille de sa renommée, après avoir vaincu ses professeurs dans des désaccords plausibles et fondé sa propre université, Abélard a reconnu le siège de votre école cathédrale Notre-Dame de Paris en 1115. Ses conférences sur la vision grecque et la théologie chrétienne ont attiré un grand nombre de personnes, mais Héloïse d’Argenteuil, âgée de dix-sept à douze mois, sortait tout droit du public. «Je l’ai trouvée, je l’ai chérie, j’ai résolu de la créer adorez-moi», a montré Abélard dans l’autobiographie. Héloïse vivait ensemble grand-père Fulbert, un chanoine de votre cathédrale – pas vraiment un homme avec qui être à la légère. Cela ne présentait qu’un léger problème pour Abélard, qui a inventé un plan pour sortir Héloïse de la vue vigilante du canon. «J’étais engagé pendant mon option [de dame], et je souhaitais localiser certains défis, je pourrais les surmonter tous avec la gloire et le plaisir supérieurs», a publié Abelard. Il se lie d’amitié avec Fulbert par le biais d’une connaissance mutuelle, et aussi dans un événement cérébrovasculaire de bonne fortune, Fulbert l’emploie pour enseigner Héloïse en vision. «Pouvez-vous vous en douter, il m’a permis de profiter de sa table de cuisine, plus un condo au sein de sa maison? [Et] à partir de là, j’ai découvert des opportunités d’être en personne avec elle », a écrit Abelard, manifestement satisfait de lui-même. Héloïse a décliné profondément amoureuse de son entraîneur, qui a vieilli environ deux fois; leurs périodes de tutorat personnel ont rapidement dégénéré en leçons de chair. Bientôt, leur plaisir ne pouvait pas être couvert jusqu’à l’heure d’été, et ils étaient également satisfaits de manière confidentielle la nuit pour «exprimer des affections réciproques». Comme l’un des contemporains d’Abélard l’utilise sans détour, le savant professeur «lui a appris à ne pas argumenter mais à forniquer». Les ragots sur la situation d’Abélard et d’Héloïse se sont répandus dans tout Paris, revenant à un moment donné aux oreilles de Fulbert. Le grand-père enragé a jeté le professeur hors de sa résidence et sur le quartier. Abélard a refusé d’abandonner son nouvel amant. Juste après avoir loué un condo près de la maison de Fulbert, il a rencontré la femme de chambre d’Héloïse, Agaton. Il l’interroge en tant qu’intermédiaire entre eux et Héloïse. Malheureusement pour Abélard, la bonne avait ses propres sentiments pour lui: je suis fou de toi, Abélard; Je sais que vous aimez vraiment Héloïse, et que j’ai tendance à ne pas vous en vouloir; Je veux simplement prendre plaisir à la deuxième place de vos affections. Ne vous laissez pas perplexe avec des scrupules; un gentleman sage doit aussi en aimer beaucoup, alors si une personne doit échouer, elle ne reste pas sans ressources.

Les ressources du Congo

Alors que les États-Unis intensifient leurs efforts pour couper la Chine des semi-conducteurs avancés, ils s’attaquent également à la plus importante source mondiale de minerais utilisés dans la technologie : la République démocratique du Congo (RDC).

La RDC est parfois appelée « l’Arabie saoudite de l’ère des véhicules électriques » car elle produit environ 70 % du cobalt mondial, un élément clé dans la production des batteries lithium-ion qui alimentent les téléphones, les ordinateurs et les véhicules électriques. Les ventes de véhicules électriques devraient passer de 6,5 millions en 2021 à 66 millions en 2040.

La RDC est également le plus grand producteur de cuivre d’Afrique, certaines de ses mines ayant des teneurs estimées à plus de 3 %, ce qui est nettement supérieur à la moyenne mondiale de 0,6 à 0,8 %. Elle possède également 70 % du coltan mondial, qui est également essentiel à la fabrication de téléphones portables et d’ordinateurs. Au total, on estime que la RDC possède des ressources minérales inexploitées d’une valeur de 24 000 milliards de dollars.

Le 13 décembre, les États-Unis ont signé des accords avec la RDC et la Zambie (le sixième producteur mondial de cuivre et le deuxième producteur de cobalt en Afrique) qui permettront aux États-Unis de soutenir les deux pays dans le développement d’une chaîne de valeur pour les véhicules électriques. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que la Banque américaine d’import-export et la Société internationale de financement du développement étudieraient les mécanismes de financement et de soutien, et que l’Agence américaine pour le développement international, le département du commerce et l’Agence pour le commerce et le développement fourniraient une assistance technique.

À part une mine de cuivre et de cobalt soutenue par Jeff Bezos et Bill Gates dans le nord de la Zambie, les détails sont rares, mais cela marque un tournant majeur pour la RDC.

Depuis plus d’une décennie, les entreprises chinoises ont dépensé des milliards de dollars pour racheter des mineurs américains et européens dans la ceinture de cobalt de la RDC, ce qui leur a permis de contrôler 15 des 19 principales mines de cobalt du pays.

La Chine s’approvisionne en cobalt auprès de la RDC pour 60 % de ses besoins, et environ 80 % du cobalt traité dans le monde l’est en Chine avant d’être incorporé dans les batteries lithium-ion.Les relations entre la RDC et la Chine sont toutefois en péril, et l’exploitation minière chinoise commence à rencontrer de plus en plus d’obstacles.

En juillet, la RDC a interrompu les exportations de la deuxième plus grande mine de cobalt au monde en raison d’un différend entre la société minière chinoise et la société minière d’État de la RDC. (China Molybdenum a acheté la participation majoritaire dans le projet en 2016 à la société américaine Freeport-McMoRan).

Encouragé par les États-Unis, le président de la RDC, Felix Tshisekedi, a commencé l’année dernière à accuser ses prédécesseurs d’avoir signé des contrats déséquilibrés avec des sociétés minières chinoises et tente à présent de les renégocier. Dans un rare signe de bipartisme en RDC, le politicien d’opposition Adolphe Muzito, qui était premier ministre à l’époque où les accords ont été signés avec la Chine, s’est également prononcé en faveur de la renégociation des accords avec Pékin.

La Chine défend ces accords en affirmant qu’elle a construit plusieurs projets dans la nation centrafricaine en dépit des obstacles, qu’elle a augmenté les recettes fiscales, créé plus d’emplois et investi dans des projets d’infrastructure tels que des routes, des hôpitaux et des centrales hydroélectriques.

Mais la querelle sur les accords chinois survient à un moment où Washington exerce une pression accrue sur Pékin et où la chaîne d’approvisionnement en cobalt est déjà sous pression en raison de la demande accrue du secteur des batteries et des problèmes logistiques de Covid-19.

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Le Financial Times, citant les prévisions de Goldman Sachs, a rapporté en novembre que les États-Unis et l’Europe pourraient réduire leur dépendance à l’égard de la Chine pour les batteries de véhicules électriques d’ici 2030 grâce à de nouvelles dépenses d’investissement de plus de 160 milliards de dollars. Il semble que l’Occident tente de regagner le terrain perdu et d’ériger des barrages sur la ligne d’approvisionnement de la Chine à partir de l’Afrique.

L’Occident critique depuis longtemps la Chine pour ses prêts aux pays africains, qui, selon lui, sont conçus pour s’emparer des actifs africains offerts en garantie. (Les pays africains ont actuellement trois fois plus de dettes envers les institutions occidentales qu’envers la Chine).

Deborah Bräutigam, directrice de l’initiative de recherche sur la Chine et l’Afrique à la Paul H. Nitze School of Advanced International Studies, a écrit qu’il s’agissait d’un « mensonge, et d’un mensonge puissant ». Elle a écrit que « nos recherches montrent que les banques chinoises sont disposées à restructurer les conditions des prêts existants et qu’elles n’ont jamais saisi d’actifs d’un pays ».

Même les chercheurs de Chatham House admettent que ce n’est pas le cas, expliquant que les prêts ont plutôt créé un piège de la dette pour la Chine. Cette situation devient de plus en plus évidente à mesure que les pays sont incapables de rembourser, en grande partie à cause des retombées économiques de la pandémie et de la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine.

Si la Chine a d’abord tenté de résoudre les problèmes de remboursement de la dette au niveau bilatéral, généralement en prolongeant les échéances plutôt qu’en acceptant des dépréciations de prêts, elle s’implique de plus en plus dans les discussions multilatérales qui incluent des institutions soutenues par les États-Unis, comme le FMI. La Chine (et le pays emprunteur) se retrouve souvent à la traîne.

Prenons le cas de la Zambie, qui a obtenu un prêt de 1,3 milliard de dollars du FMI en septembre. Extrait de The Diplomat :

La Zambie va réorienter ses priorités en matière de dépenses, passant de l’investissement dans l’infrastructure publique – généralement financé par les parties prenantes chinoises – aux dépenses récurrentes. Plus précisément, la Zambie a annoncé qu’elle annulerait totalement 12 projets prévus, dont la moitié devait être financée par la China EXIM Bank, ainsi qu’un projet de l’ICBC pour une université et un autre de la Jiangxi Corporation pour une autoroute à deux voies reliant la capitale. Le gouvernement a également annulé 20 soldes de prêts non distribués, dont certains étaient destinés à de nouveaux projets et d’autres à des projets existants. Si de telles annulations ne sont pas inhabituelles de la part de la Zambie, les partenaires chinois représentent l’essentiel de ces prêts…

Si certaines de ces annulations ont pu être initiées par les prêteurs chinois eux-mêmes, en particulier ceux qui avaient des arriérés, la Zambie n’aurait peut-être pas eu besoin d’annuler autant de projets. Depuis 2000, la Chine a annulé une plus grande partie de la dette bilatérale de la Zambie que n’importe quel créancier souverain, soit 259 millions de dollars à ce jour.

Néanmoins, l’équipe du FMI a justifié ce changement par le fait qu’elle – et probablement le gouvernement zambien – estime que les dépenses d’infrastructure publique en Zambie n’ont pas généré une croissance économique ou des recettes fiscales suffisantes. Toutefois, le rapport du FMI n’apporte aucune preuve à cet égard.

L’accord du FMI relègue également la Chine au second plan, puisqu’il autorise la poursuite de 62 projets de prêts concessionnels, dont deux seulement impliqueront la Chine. La grande majorité des projets seront administrés par des institutions multilatérales et concernent des dépenses récurrentes plutôt que des projets d’infrastructure.

En août, la Chine a annoncé qu’elle renonçait à 23 prêts sans intérêt en faveur de 17 pays africains, tout en s’engageant à approfondir sa collaboration avec le continent. Malgré ce geste et ses efforts pour repousser les échéances, l’Occident continue de marteler le message selon lequel Pékin est engagé dans une diplomatie du piège de la dette, à l’instar de Janet Yellen, secrétaire au Trésor américain, qui a affirmé à plusieurs reprises que Pékin était devenu le plus grand obstacle au « progrès » en Afrique.

Alors que Pékin propose des accords imparfaits d’échange d’infrastructures contre des minerais, les États-Unis, comme l’a déclaré M. Biden lors du récent sommet des dirigeants américano-africains, entretiennent des liens culturels en raison de leur importante population d’Afro-Américains.

« J’ajouterais que mon ancien patron en fait partie », a-t-il ajouté.

Selon le South China Morning Post, le FMI fait également pression sur la RDC pour qu’elle « mette de l’ordre dans les accords miniers déséquilibrés accordés à des entreprises étrangères » (c’est-à-dire la Chine) comme condition préalable à l’obtention d’une nouvelle ligne de crédit d’un montant de 1,5 milliard de dollars.

Les accords seront donc probablement remaniés au détriment de la RDC, à l’instar de l’accord conclu par le FMI avec la Zambie. En 2009, l’ancien président congolais Joseph Kabila a expliqué au New York Times pourquoi la RDC a signé les accords avec la Chine malgré les pressions américaines :

Je ne comprends pas la résistance que nous avons rencontrée. Quel est l’accord avec la Chine ? Nous avons dit que nous avions cinq priorités : les infrastructures, la santé, l’éducation, l’eau et l’électricité, et le logement. Comment faire face à ces priorités ? Nous avons besoin d’argent, de beaucoup d’argent. Pas 100 millions de dollars américains de la Banque mondiale ou 300 du FMI. Non, beaucoup d’argent, d’autant plus que nous continuons à assurer le service d’une dette de près de 12 milliards de dollars, à raison de 50 à 60 millions de dollars américains par mois, ce qui est énorme. Vous me donnez 50 millions de dollars par mois pour le secteur social et on avance. Quoi qu’il en soit, il s’agit là d’un autre chapitre. Mais nous avons dit : nous avons ces priorités et nous avons parlé à tout le monde. Les Américains ont-ils l’argent ? Non, pas pour l’instant. L’Union européenne, avez-vous trois ou quatre milliards pour ces priorités ? Non, nous avons nos propres priorités. Puis nous nous sommes dit : pourquoi ne pas parler à d’autres, aux Chinois ? Nous leur avons demandé s’ils avaient l’argent nécessaire. Et ils ont dit : « Eh bien, nous pouvons discuter ». Nous avons donc discuté.

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L’implication de Washington en RDC remonte à plusieurs décennies. L’uranium utilisé pour fabriquer les bombes atomiques larguées sur le Japon provenait du Congo. Les États-Unis ont aidé à planifier l’assassinat du premier Premier ministre démocratiquement élu de la RDC, Patrice Lumumba, pour avoir tenté de contrôler les ressources de la RDC et de les utiliser pour améliorer les conditions de vie de la population du pays. Ces dernières années, Washington a joué un rôle dans les conflits en cours dans l’est de la RDC, qui impliquent des centaines de groupes militants.

En raison de l’implication des États-Unis dans l’assassinat de ses dirigeants et dans la fomentation d’insurrections dans le pays, les relations entre les États-Unis et la RDC ont longtemps été glaciales. Cela a changé avec l’arrivée au pouvoir de M. Tshiskedi en 2019. À propos de cette élection et de la réaction des États-Unis, selon Foreign Policy :

Des groupes indépendants au Congo avaient détecté une fraude généralisée lors du vote, de sorte que les responsables américains ont accepté de condamner le processus comme étant truqué et ont promis de tenir les personnes impliquées responsables.

Mais la déclaration faite par le département d’État américain le 23 janvier a pris de court certains des responsables politiques qui travaillaient sur la région. Au lieu de condamner l’élection comme étant « profondément erronée et troublante », selon les termes du projet initial, les États-Unis ont approuvé les résultats – avec des réserves mineures – et ont fait l’éloge de l’élection.

(Lors du récent sommet américano-africain des dirigeants, M. Biden s’est engagé à fournir plus de 165 millions de dollars pour « soutenir les élections et la bonne gouvernance en Afrique en 2023 »).

Le premier voyage de M. Tshiskedi a eu lieu aux États-Unis et, en 2020, les deux pays ont convenu de poursuivre leur coopération militaire, notamment en formant des officiers congolais aux États-Unis. Après l’élection de Tshikedi, les États-Unis ont commencé à prétendre qu’un groupe affilié à ISIS se trouvait parmi les milices opérant en RDC (les experts de l’ONU ont déclaré qu’ils n’avaient trouvé aucune preuve de cela), et les forces spéciales américaines ont commencé à se déployer en RDC avec l’objectif déclaré de combattre le groupe ISIS.

Outre la supposée filiale d’ISIS, il est largement admis que nombre de ces groupes militants opérant dans l’est de la RDC reçoivent un soutien et un entraînement de la part des armées de l’Ouganda et du Rwanda. Et qui soutient et entraîne les armées de l’Ouganda et du Rwanda ? Les États-Unis.

L’une des plus grandes milices est le M23, qui est issu de l’armée congolaise et bénéficie de son soutien. Un bref rappel du contexte par le Black Agenda Report :

En 2008, le prédécesseur du M23, le CNDP, se déchaînait dans [l’est de la RDC]. En 2009, le jour de l’investiture d’Obama, il a été annoncé que le CNDP serait intégré à l’armée congolaise. La secrétaire d’État adjointe Susan Rice s’en est félicitée le lendemain. Puis, en 2013, ces mêmes troupes rwandaises qui avaient été « intégrées » dans l’armée congolaise sont apparues sous le nom de M23, affirmant qu’elles n’avaient pas obtenu tout ce qui leur avait été promis dans l’accord signé le 23 mars 2009. D’où le nom de M23.

Nixon Katembo, journaliste congolais et producteur exécutif à la South African Broadcasting Corporation, explique comment les États-Unis utilisent les militaires/milices rwandais comme force supplétive :

Rappelons que les armées rwandaise et ougandaise ont toutes deux été construites, entraînées et financées par les États-Unis. Le premier commandant de l’AFRICOM, Kip Ward, a déclaré qu’ils veillaient à les former pour servir leurs intérêts mutuels.

Mais leurs intérêts n’étaient pas la paix ou le développement de la région, mais le service des multinationales des États-Unis et des institutions de Bretton Woods et la sécurisation des ressources naturelles de la RDC. La RDC possède les ressources minérales essentielles dont ont besoin les industries des États-Unis et de l’Europe occidentale.

Le Congo détient 70 % du coltan mondial, qui est essentiel à la fabrication des téléphones portables et des ordinateurs. Il en va de même pour le cobalt, qui est essentiel à la fabrication de technologies aérospatiales et renouvelables. La RDC détient environ 80 % des réserves mondiales de cobalt. C’est dire à quel point il est essentiel pour les États-Unis et le reste de l’Occident de maintenir le Congo dans un état de désarroi qui l’empêche de contrôler ses propres ressources et d’en tirer profit.

Cependant, les États-Unis et les nations européennes ne veulent pas mettre des bottes sur le terrain en Afrique, ils utilisent donc le Rwanda comme mandataire. Vous vous souviendrez que le minuscule Rwanda est devenu non seulement le premier producteur d’or, mais aussi le premier producteur de coltan de la région, grâce aux minerais pillés en RDC.

Le Rwanda est l’un des plus grands exportateurs de coltan au monde, bien qu’il ne possède que peu de mines en production. Les États-Unis sont le premier investisseur au Rwanda, représentant 13,2 % du total des engagements d’investissement dans le pays.

L’un des plus gros investisseurs américains, la société minière Bay View Group, fait actuellement l’objet d’une procédure d’arbitrage avec le Rwanda devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements. Extrait du Globe and Mail :

Bay View, l’un des plus gros investisseurs dans le secteur minier rwandais entre 2006 et 2016, réclame aujourd’hui 95 millions de dollars de dommages et intérêts au gouvernement rwandais, estimant que le régime a saisi les actifs de la société parce qu’elle refusait de participer à la « contrebande illégale rampante » de coltan et d’autres minerais congolais vers le Rwanda. L’une des concessions de la société se trouvait près de la frontière congolaise, ce qui en aurait fait « une étape idéale pour la contrebande de minerais », selon Bay View.

« On pense que plus de 50 % de tous les minéraux exportés du Rwanda proviennent de la RDC et que plus de 90 % du coltan exporté du Rwanda provient de la RDC », a déclaré la société au centre d’arbitrage dans sa demande…

L’entreprise a également déclaré que les exportations officielles de minerais du Rwanda ont augmenté de façon spectaculaire depuis 2013, malgré les faibles niveaux de production minière. « La seule façon dont cela pourrait être possible est que le Rwanda fasse de la contrebande de minéraux depuis la RDC, en les étiquetant comme rwandais et en les exportant dans le monde comme étant rwandais. »

Selon Nixon Katembo, cela pourrait cesser si les États-Unis le voulaient :

Je crois fermement que si les États-Unis disaient au Rwanda et à l’Ouganda de se retirer, la guerre dans l’est de la RDC serait terminée en une semaine.

Toutefois, les États-Unis et l’Occident devraient alors cesser d’essayer de déstabiliser la RDC, afin que les Congolais puissent reconstruire les institutions de l’État et une armée efficace pour défendre leurs frontières.

Une telle issue pourrait être possible, car il semble que le M23 ait atteint sa date de péremption à Washington. En juin, la RDC s’est tournée vers Washington pour obtenir de l’aide concernant le M23.

Deux jours après la signature des accords avec la Zambie et la RDC, M. Blinken a demandé au Rwanda de retirer ses troupes de l’est de la RDC et d’encourager les rebelles du M23 à faire de même. Auparavant, les États-Unis n’avaient pas accepté publiquement les allégations congolaises selon lesquelles le Rwanda soutient la rébellion du M23. Les capitales européennes se sont jointes au chœur soudain dénonçant le M23 et appelant le Rwanda à maîtriser le groupe.

La RDC ayant signé un cessez-le-feu avec le Rwanda, le Burundi et l’Angola, et le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda, le Burundi et le Sud-Soudan ayant envoyé des forces pour stabiliser l’est de la RDC, le Rwanda et son président Paul Kagame n’ont guère d’autre choix que de faire marche arrière et de retirer leur soutien militaire, logistique et politique au M23.

Malgré (ou peut-être à cause) de l’utilité des milices rwandaises, le Rwanda continue d’engranger des quantités massives d’aide militaire de la part de Washington et de Bruxelles. L’Occident pourrait vouloir que le Rwanda redirige davantage de ses milices vers le nord du Mozambique afin de protéger les intérêts énergétiques occidentaux dans cette région, notamment une énorme concession de gaz naturel détenue par TotalEnergies SE et ExxonMobil.

Le Rwanda vient également de devenir le premier pays africain à obtenir un prêt (319 millions de dollars) du FMI dans le cadre de sa nouvelle Facilité de résilience et de durabilité, censée aider les pays pauvres, les petits États et les pays vulnérables à revenu intermédiaire à faire face aux défis du changement climatique et des pandémies. Ce prêt viendra s’ajouter à la dette du pays, qui représentait 73,3 % du PIB en 2021.

Les systèmes de sécurité innovants pour les véhicules

L’innovation dans le domaine des véhicules continue de progresser à une vitesse exceptionnelle. Les derniers développements technologiques ont permis aux véhicules d’être beaucoup plus autonomes, efficaces et connectés. Les déplacements autonomes ont été rendus possibles grâce à des capteurs, des caméras et des systèmes radar avancés qui permettent aux véhicules d’identifier leur environnement et de choisir comment se déplacer en toute sécurité sur l’autoroute. Cette technologie est utilisée dans des véhicules sans conducteur dans le monde entier et peut encore s’améliorer au fur et à mesure des progrès.

La création d’automobiles électriques a également eu un effet considérable sur l’évolution des voitures. Les groupes motopropulseurs électriques deviennent plus abordables grâce à l’évolution des technologies d’alimentation par batterie, ce qui permet de conduire les véhicules sans consommer d’énergie. En outre, les groupes motopropulseurs électriques produisent beaucoup moins de polluants que les moteurs à combustion classiques, ce qui en fait une option beaucoup plus écologique.

La connectivité en ligne peut également jouer un rôle de plus en plus important dans l’évolution de l’industrie automobile. Les véhicules sont en effet en mesure de se connecter à Internet et d’utiliser des programmes tels que des cartes ou des services de diffusion de musique sur Internet. Ces technologies sont utilisées pour produire des automobiles plus sages qui se connecteront les unes aux autres, rendant la conduite plus sûre et plus efficace que jamais.

Les progrès de l’automobile évoluent et se développent constamment, ce qui crée des opportunités passionnantes pour le secteur. Malgré la plupart de ces progrès, il existe encore une grande marge d’amélioration en matière de sécurité, d’efficacité et de durabilité. À mesure que les progrès se poursuivent dans ce domaine, les plus belles voitures cabriolet nous pouvons nous attendre à des évolutions étonnantes dans la manière dont les véhicules sont produits et utilisés dans le monde entier.

Le progrès étant à la pointe de l’industrie automobile, il est certain que de nombreuses technologies et évolutions sont à venir. Les véhicules de transport personnel, les groupes motopropulseurs électriques et les techniques de liaison ne sont que quelques-unes des innovations qui ont vu le jour ces dernières années et qui peuvent encore constituer la voie à suivre pour l’innovation automobile. À mesure que ces progrès se généraliseront, ils transformeront la façon dont nous communiquons avec nos véhicules et créeront des possibilités passionnantes pour l’industrie en général. Grâce à l’innovation dans les technologies, la sécurité, l’efficacité et la durabilité, l’industrie automobile est sûre de continuer à avancer vers de nouvelles régions de progrès. C’est une période passionnante pour l’innovation dans l’industrie automobile – les possibilités sont apparemment illimitées.

L’évolution de l’industrie automobile donnera certainement lieu à des progrès passionnants dans les années à venir. Avec le développement de la conduite autonome, des groupes motopropulseurs électriques et des systèmes connectés, les véhicules deviennent plus intelligents et plus efficaces que par le passé. Au fur et à mesure que l’innovation progressera dans cette pièce, nous pouvons nous attendre à voir se développer de nouvelles technologies étonnantes qui façonneront la manière dont nous interagissons avec nos automobiles, rendant la conduite plus sûre pour tout le monde. Bien que l’innovation soit généralement considérée comme une entreprise coûteuse, elle est finalement essentielle pour que l’industrie automobile continue d’avancer et de fabriquer de meilleurs produits.

Comment affréter et louer un avion privé pour vos prochaines vacances ?

Le secteur du transport aérien serait, sans surprise, le marché le plus touché par la pandémie. En février, la Worldwide Air Transport Connection a révélé que les besoins avaient chuté de 65,9 % en 2020. Pour l’aviation privée, le résultat a été beaucoup plus favorable, les données montrant que si les chiffres des vols des compagnies aériennes étaient un peu plus instables selon les personnes interrogées, le marché en général a connu une plus grande reprise au cours de l’année ainsi qu’une augmentation significative des nouvelles demandes. NetJets a révélé que, juste après que son volume de vols aériens ait d’abord chuté à seulement 10 pour cent, l’entreprise avait retrouvé une quantité de 85 pour cent, par rapport à 2019, à la fin de l’année. Ce qui est peut-être encore plus substantiel, c’est l’augmentation du grand intérêt que cette industrie a observé de la part de la nouvelle clientèle. VistaJet a fait état d’une augmentation de 29 pour cent de nouveaux membres en 2020, dont 18 pour cent provenant de pays asiatiques. C’est une évidence si l’on considère que les jets privés offrent un moyen plus sûr de voyager, avec une exposition réduite aux risques liés à l’assurance maladie et à la sécurité. Selon Airshare, alors que chaque vol industriel offre aux voyageurs environ 700 points de contact, il a été prouvé que les touristes en jet privé n’en connaissent que 20.

Cela peut être une émotion que Ian Moore, principal responsable industriel de VistaJet, réitère. « En raison d’une forte diminution des vols aériens commerciaux planifiés et des questions croissantes autour de la sécurité individuelle, la pandémie a accéléré la demande pour l’aviation d’entreprise étant un moyen plus sûr et plus fiable de voler », dit-il. « Comme le nombre de points de contact diminue considérablement lors d’un vol personnel, l’industrie du voyage reconnaît un nombre accru de personnes qui prennent l’avion pour la première fois. « McKinsey & Business a estimé qu’avant la pandémie, seuls 10 pour cent des personnes qui peuvent se permettre de voyager en privé le faisaient. Et récemment, Infos Jet Privé des recherches montrent que 79 % des UHNWI seront plus enclins à voyager en jet privé qu’auparavant. Cela se reflète dans nos nouvelles demandes entrantes : dans les 50 premiers pour cent de 2020, 71 pour cent provenaient de passagers qui n’avaient pas utilisé régulièrement les options d’aviation d’affaires auparavant. »

Et même si NetJets a enregistré une baisse initiale, la situation est différente dans les pays d’Asie du Sud-Est. Stefan Wood, directeur général de Singapore Atmosphere Charter, déclare : « Au début de la pandémie, nous avons constaté une ruée vers l’aviation personnelle sous la forme de vacances de dernière minute ou de réunions d’affaires accélérées. Par la suite, le marché a connu une augmentation progressive de l’utilisation de l’aviation personnelle pour la continuité des affaires, ainsi qu’une capitalisation des voyages de loisirs entre les lieux autorisés. « Avec la lumière au bout du tunnel grâce aux vaccins, de nombreux touristes souhaitent utiliser l’aviation privée pour optimiser le confort et réduire les problèmes de santé. Les pays d’Asie du Sud-Est, en particulier, ont une approche du type ‘une fois mordu, deux fois timide’, tirant les leçons de l’épidémie de SRAS de 2002. »

David Dixon, responsable de Jetcraft pour les pays asiatiques, a observé des tendances dans la manière dont les clients choisissent de voyager.  » Le marché des pays asiatiques pour les avions personnels en pré-possession est définitivement dominé par les avions à long rayon d’action qui vont voler plus loin au niveau intra-régional « , affirme-t-il. « Nous assistons en fait à une expansion des besoins en matière de voyages domestiques. De nombreux nouveaux venus dans le secteur rencontrent l’aviation d’affaires par le biais de solutions d’affrètement, de fractionnement ou de cartes de jet – le hiatus actuel a mis l’accent sur ce point. » Pour les nouveaux venus dans l’aviation privée, l’affrètement est la méthode idéale pour commencer. En achetant un certain nombre d’heures ou en payant au fur et à mesure, ils pourront « tester » différents jets et découvrir leurs habitudes de vol.

Ceux qui voyagent plus de 50 heures par an peuvent également jeter un coup d’œil aux choix de location et discuter des programmes. Ces deux types de programmes sont similaires, mais ils permettent aux clients de posséder un élément de la flotte de la compagnie. Ensuite, il existe des entreprises, comme Apertus Aviation, basée à Hong Kong, qui proposent des abonnements permettant de voler sans limite dans une zone donnée pendant une période de 60 heures. Lorsqu’on décide d’acheter, d’affréter ou d’utiliser des cartes de crédit pour avions à réaction, il faut réfléchir à des aspects qui vont du danger pour les ressources et des dépenses financières à la disponibilité des vols et des groupes de procédures. Jetcraft, le plus grand agent professionnel au monde, conseille les clients sur la vente d’avions, le marketing et la publicité et la stratégie de propriété.

« En fin de compte, les normes sont basées sur l’utilisation, le coût et la commodité », précise Timber. « Posséder un jet offre l’incarnation de la disponibilité. Cependant, ce n’est pas toujours le bon outil pour faire le travail en ce qui concerne la gamme et la capacité. L’affrètement permet d’atténuer certains de ces problèmes, mais l’aspect négatif est qu’il n’est pas nécessairement facile à obtenir. Ensuite, il y a certainement les cartes de crédit pour les avions à réaction, qui sont efficaces en termes de coût et de disponibilité. » « L’affrètement se fait généralement en cas de besoin, offrant polyvalence et maniabilité sans avoir à se consacrer d’emblée à des aspects tels que le type, le budget et le lieu », déclare Ringo Lover, PDG et fondateur d’Apertus. « L’affrètement offre aux utilisateurs la possibilité d’aider à identifier la compagnie ou le design qui leur plaît avant de s’engager à en devenir propriétaire. »