Il n’y a pas de « centre politique » dans l’Amérique moderne

L’idée d’un « centre politique » dans l’Amérique moderne est largement considérée comme un mythe par de nombreux analystes. La conception commune veut que l’électorat américain soit réparti le long d’un axe politique linéaire, allant de la gauche à la droite, avec la majorité des électeurs occupant une position modérée au centre. Cette théorie, souvent reprise par les médias traditionnels et les partis politiques, postule que les candidats qui veulent remporter les élections doivent courtiser cet électorat centriste en adoptant des politiques modérées. Toutefois, cette vision simpliste de l’électorat est loin de refléter la réalité politique des États-Unis.

En 2016, Hillary Clinton, candidate du Parti démocrate, a adopté cette stratégie en tentant de séduire les électeurs centristes. Pourtant, elle a échoué à remporter l’élection présidentielle, malgré une campagne ciblant cet électorat supposément décisif. Les erreurs de calcul de sa campagne ont mis en lumière un changement fondamental dans la composition de l’électorat américain : de nombreux citoyens ne se situent plus au centre, mais adoptent des positions plus radicales, tant à gauche qu’à droite. Ce phénomène, que certains politologues appellent l’ascension des « indépendants radicaux », remet en question la pertinence de la stratégie centriste dans le paysage politique actuel.

Les politologues Larry Bartels et Christopher Achen, dans leur ouvrage *Democracy for Realists*, soulignent que l’idée d’une majorité d’électeurs modérés est une simplification excessive de la réalité. Ils contestent le modèle spatial qui définit l’électorat comme un continuum linéaire, avec des électeurs situés quelque part entre la gauche et la droite. Ce modèle suppose que la plupart des électeurs préfèrent des politiques modérées, et que les partis doivent se rapprocher du centre pour maximiser leurs chances de succès. Or, les recherches montrent que cette représentation ne correspond plus à la réalité électorale. Une étude réalisée en 2014 par David Broockman et Douglas Ahler révèle que les électeurs n’adhèrent pas massivement à des positions centristes, sauf sur quelques questions, comme les droits des homosexuels et l’environnement.

Sur de nombreuses autres questions, les électeurs se tournent vers des solutions radicales. Par exemple, la légalisation complète de la marijuana et des politiques d’immigration très restrictives, telles que la déportation massive des sans-papiers, sont des positions qui attirent un large soutien. De même, des mesures économiques radicales, comme l’instauration d’un revenu maximum ou une augmentation significative des impôts pour les plus riches, recueillent plus d’adhésion que les politiques modérées proposées par le Parti démocrate ou républicain.

Cette réalité met en lumière l’une des principales erreurs des partis politiques traditionnels : en se concentrant sur la recherche de l’électorat centriste, ils négligent les préoccupations réelles des électeurs, qui cherchent des réponses claires et radicales aux problèmes économiques et sociaux. Les médias et les politiciens qualifient souvent de « centristes » les politiques qui favorisent les grandes entreprises, tandis que des solutions plus audacieuses, comme la redistribution des richesses ou l’extension des droits sociaux, sont écartées.

Pourquoi alors les partis continuent-ils à poursuivre cet électorat « centriste » qui semble ne plus exister ? Une explication réside dans le rôle de l’argent en politique. Les candidats, qu’ils soient démocrates ou républicains, sont souvent financés par des entreprises et des donateurs fortunés, qui ont un intérêt direct à maintenir le statu quo économique. Ce financement les pousse à adopter des politiques modérées, même si celles-ci ne répondent pas aux attentes d’une grande partie de la population. Comme le souligne David Broockman, les politiciens qui bénéficient de ce soutien financier sont qualifiés de « modérés » par la presse, mais leurs positions sont souvent éloignées des préoccupations des électeurs ordinaires.

L’échec des démocrates à remporter les élections dans de nombreux États, ainsi qu’au niveau fédéral, s’explique en grande partie par leur incapacité à répondre aux demandes des électeurs pour une réforme économique. Bien que des solutions existent pour réduire les inégalités, améliorer l’accès aux soins de santé ou résoudre la crise de la dette étudiante, ces propositions sont jugées politiquement inaccessibles par les élites politiques. Pourtant, l’exemple des pays nordiques montre qu’il est possible de réduire la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie en investissant dans des politiques sociales ambitieuses. Aux États-Unis, ce genre de politiques reste cependant perçu comme « radical » et trop éloigné du centre politique.

Il semble donc clair que l’Amérique moderne n’a plus de véritable « centre politique ». Les électeurs sont de plus en plus polarisés, et les candidats qui tentent de courtiser un électorat modéré risquent de s’aliéner à la fois les électeurs de gauche et ceux de droite. La montée des indépendants radicaux, qu’ils soient de droite ou de gauche, est un signe que l’Amérique est en pleine transformation politique. Si les partis politiques veulent rester pertinents, ils devront repenser leur approche et offrir des solutions plus audacieuses aux problèmes économiques et sociaux du pays.

En conclusion, l’idée d’un centre politique en Amérique est une fiction qui ne correspond plus à la réalité. Les partis politiques, en particulier les démocrates, doivent cesser de courir après cet électorat illusoire et se concentrer sur les véritables préoccupations des citoyens. Le changement viendra de ceux qui osent proposer des solutions nouvelles et radicales, plutôt que de ceux qui cherchent à maintenir le statu quo.

Delta One Lounge à JFK : une expérience de voyage inédite

L’aéroport JFK dévoile le plus grand salon Delta au monde — découvrez-le ici.
Voici un aperçu du tout nouveau Delta One Lounge à JFK.

Les détenteurs de billets Delta One ont désormais accès à un espace de détente unique à JFK. Ouvert ce mercredi, les plus beaux hôtels du monde le Delta One Lounge est le premier du genre et le plus grand parmi tous les salons Delta Sky Lounge dans le monde. Situé entre les halls A et B du terminal 4, il est facilement accessible depuis la sécurité et s’étend sur plus de 39 000 pieds carrés. Ce salon propose de nombreuses commodités pour les voyageurs haut de gamme, notamment une restauration haut de gamme, des soins bien-être et des services de voiturier, comme indiqué dans un communiqué officiel.

Delta promet que dès que vous franchissez les portes, vous oublierez que vous êtes dans un aéroport. « Nos équipes ont travaillé méticuleusement pour que les invités du Delta One Lounge aient une expérience vraiment mémorable », a déclaré Claude Roussel, vice-président de Delta Sky Clubs and Lounge Experience. « Ce salon représente une nouvelle ère pour Delta, élevant les standards à tous les niveaux, des commodités aux offres culinaires en passant par le niveau de service personnalisé. Nous souhaitons que nos invités ressentent cette différence dès leur arrivée, et qu’ils se sentent accueillis et valorisés. »

Les syndicats et leur avenir

J’ai été élevée dans une maison d’entreprise dans une communauté d’organisation où les mineurs devaient acheter leurs graisseurs particuliers, c’est-à-dire des combinaisons caoutchoutées, des forets ainsi que d’autres ressources dans l’atelier de l’entreprise. Cette entreprise, Inco Minimal, le premier fabricant mondial de nickel pendant la majeure partie du 20e siècle, gérait la région de Sudbury, en Ontario, mais ne devint en aucun cas populaire pour posséder l’âme des femmes et des hommes qui y vivaient et y travaillaient bien. C’est parce que ce sont des femmes et des hommes syndiqués, possédés par eux-mêmes, juste un peu tapageurs et bien informés que les appels chétifs du personnel personnel tombent dans les oreilles des entreprises sourdes. Alors que je me réunissais pour déménager dans quelques jours, 54 ans après avoir commencé à agir comme perforateur de cuivre à la fonderie Inco, votre relation entre les grandes entreprises internationales et les travailleurs est différente. Les syndicats symbolisent désormais un pourcentage beaucoup plus compact d’employés, si peu d’entre eux ne savent pas exactement ce qu’est une entreprise de travail ou ce que le travail structuré peut accomplir. C’est la conséquence d’agressions délibérées et prolongées contre les syndicats par les entreprises et les riches. Ils veulent posséder non seulement le temps des travailleurs, mais aussi la création, mais vraiment les âmes. Je préférerais vous informer de l’histoire d’Inco car elle montre l’arc d’ascendance et d’atténuation des syndicats au cours des 72 dernières années depuis ma création à Sudbury. Une fois que j’étais fils, les employés d’Inco, environ 19 000 d’entre eux, étaient représentés par le biais de l’Union mondiale des miens, Mill and Smelter Staff. L’union accumulait la durabilité. Mon père, Wilfred Gerard, était parmi les canailles. Nous ne résidions qu’à quelques ml du mien, et les employés collectaient sur la maison. Une personne apportera une caisse de bière, et ma mère ferait des œufs verts ou des collations à la bologne. Les problèmes à l’intérieur de la mine ont été horribles, que le personnel avait organisés pour parvenir à se transformer. Je me souviens qu’ils parlaient d’un arrêt de travail sur des gobelets de sécurité. J’ai été impressionné qu’ils devraient faire quelque chose comme ça pour obtenir un équipement de travail crucial. Je pensais que l’entreprise devait envisager volontairement cette simple étape pour s’assurer que les employés n’étaient pas blessés inutilement au travail. J’ai compris deux leçons importantes de localisées sur les méthodes et entendu ces rassemblements. Une particularité était que cette entreprise ne ferait rien du tout pour les employés à moins bien sûr d’être forcée par des mesures collectives. Un autre est que les syndicats ont été un équipement de droits économiques et interpersonnels convenables. J’ai commencé à travailler dans la fonderie à l’ère 18 juste après avoir terminé mes études secondaires. Ma mère a conseillé à ma chérie, Susan, ma meilleure moitié à venir, de ne pas me permettre de m’impliquer dans le syndicat parce que si je le faisais, je serais personnellement absent tout le temps. Pendant longtemps, j’ai résisté à l’activisme syndical. Continuez à, j’ai gardé un duplicata du contrat de travail dans ma poche, tiré juste assez haut et pour que le manager puisse le regarder. Je savais exactement ce que cela disait et je voulais qu’il le sache, je m’en suis rendu compte. En 1967, après mes 20 ans, l’Union internationale des travailleurs de mes usines et fonderies s’est jointe aux Métallos (USW) et je suis également devenu membre de l’USW. Il n’a pas fallu très longtemps pour que les gens de la fonderie voient que j’ai apprécié une grande cavité buccale. Et puis en 1969, ils ont demandé personnellement que je devienne délégué syndical. Ce fut le début. Ma maman avait raison. Cela donnait à penser que j’étais parti la plupart du temps. Je me suis acheté personnellement rétrogradé et je pouvais donc travailler en journée et m’inscrire à l’école le soir. Le jour de mon déménagement, j’ai remarqué que l’entreprise faisait appel à de nombreux entrepreneurs en construction. Beaucoup effectuaient un travail qui devait être effectué par des membres du syndicat. D’autres entrepreneurs se sont assis à l’intérieur de leurs camionnettes garées derrière l’entrepôt sans rien faire. Et j’ai donc eu environ 6 personnes pour m’aider à garder une trace et l’historique des infractions chaque jour. Nous déposerions des griefs contre l’organisation. Nous ne pouvions pas gagner car le vocabulaire de l’accord était faible lorsque cela se produit, mais nous l’avons suivi à chacune des phases du deuil, et cela a également coûté les fonds d’Inco. Cela a rendu les employeurs furieux. Alors qu’ils l’avaient pris sur moi. Vous devez être prêt pour cela si vous voulez devenir activiste. Ils m’ont aidé à ratisser les pierres qui avaient déposé les véhicules de la mine dans la rue. Ils m’ont fait mettre des ordures à l’intérieur du parking. Ils ont fait un effort pour m’humilier. Mais j’ai toujours identifié un moyen de se plier à eux.

MiG-41 : évolution de l’aviation militaire

La Russie est depuis longtemps un acteur important de l’industrie mondiale de la protection, notamment en ce qui concerne le développement d’avions militaires innovants. Parmi les divers projets qui ont attiré l’attention, citons le MiG-41, un avion de combat de nouvelle génération qui devrait révolutionner les capacités de combat aérien. Le MiG-41, développé par Mikoyan (MiG), est considéré comme le formidable successeur du MiG-31, un intercepteur utilisé par l’armée de l’air européenne depuis les années 1980. Cet essai examine le développement, les capacités prévues et l’importance stratégique de l’avion de combat MiG-41.

Le MiG-31, connu pour sa vitesse élevée, son altitude et ses caractéristiques d’interception à réseau étendu, a été un élément essentiel de la défense aérienne russe. Cependant, avec l’évolution des dangers aériens et les progrès technologiques, le besoin d’un avion plus sophistiqué se fait pressant. Le concept du MiG-41, également connu sous le nom de PAK-DP (Prospective Aviation Complex for Long-Variety Interception), est apparu comme une solution à ce besoin. Le projet MiG-41 a été mentionné pour la première fois dans le domaine public au début des années 2010, avec une confirmation établie par les responsables de la défense russe pour 2018.

Le développement du MiG-41 s’inscrit dans le cadre d’une technique plus large visant à moderniser les causes militaires de la Russie. Alors que les puissances mondiales investissent dans des chasseurs de cinquième génération tels que le F-35 américain et le J-20 chinois, la Russie cherche à dépasser les technologies actuelles en développant un chasseur de sixième génération capable de satisfaire et de dépasser les capacités des adversaires actuels et futurs.

Bien que les détails spécifiques concernant le MiG-41 ne soient pas encore connus, les analystes et les responsables militaires discutent de plusieurs caractéristiques attendues. Le MiG-41 devrait être doté de technologies de pointe, ce qui en ferait l’un des chasseurs les plus avancés au monde.

L’un des éléments les plus remarquables est sa vitesse. Le MiG-41 devrait arriver à une vitesse supérieure à Mach 4, constructeurs d’avions ce qui en ferait l’un des avions les plus rapides jamais construits. Cette vitesse incroyable est essentielle pour intercepter les menaces à grande vitesse, telles que les missiles hypersoniques, qui sont de plus en plus fréquents dans les guerres modernes.

La technologie furtive est un autre élément essentiel du MiG-41. La réduction de la section transversale radar de l’avion améliorera sa capacité de survie dans l’espace aérien contesté. Des matériaux composites avancés et des techniques de style innovantes seront probablement utilisés pour atteindre un niveau élevé de furtivité.

Le MiG-41 devrait en outre être doté d’une avionique et de détecteurs avancés, offrant une conscience situationnelle et des capacités de ciblage exceptionnelles. Des systèmes radars améliorés, comme la technologie AESA (Productive Electronically Examined Array), permettront au MiG-41 de détecter et de suivre des cibles multiples à longue distance.

En outre, le MiG-41 devrait être doté d’une charge utile polyvalente, telle que des missiles à longue portée à flux atmosphérique et éventuellement des armes à énergie dirigée. Cette flexibilité permettra à l’avion de s’attaquer à de nombreuses menaces différentes, des chasseurs ennemis aux missiles balistiques.

Le développement du MiG-41 a des effets stratégiques considérables pour la Russie. Tout d’abord, il peut renforcer les capacités de protection aérienne de la Russie. La capacité d’intercepter et de neutraliser les dangers à haute vitesse et à haute altitude est vitale pour la protection de l’espace aérien russe, en particulier en raison du style croissant des technologies de missiles.

En outre, le MiG-41 améliorera les capacités de projection d’énergie de la Russie. Grâce à sa capacité à opérer à des vitesses et des altitudes élevées, le MiG-41 peut répondre rapidement à des menaces croissantes et engager des cibles bien au-delà des frontières de la Russie. Cette capacité de réponse rapide est essentielle dans la guerre moderne, où la rapidité de l’engagement peut déterminer l’issue des problèmes.

Le MiG-41 symbolise également une déclaration d’expertise technologique. La mise au point d’un avion de combat de sixième technologie place la Fédération de Russie à l’avant-garde des technologies modernes de l’aviation militaire, démontrant ainsi sa capacité à innover et à rivaliser avec d’autres puissances militaires de premier plan. Cette autorité technologique peut avoir des ramifications géopolitiques plus importantes, en influençant les relations de la Russie avec ses alliés comme avec ses adversaires.

Malgré les capacités prometteuses du MiG-41, un certain nombre de défis doivent être relevés pour que ce chasseur avancé puisse porter ses fruits. L’une des principales difficultés est l’importance des dépenses financières nécessaires à la recherche, au développement et à la production. Le développement d’un chasseur mma de sixième génération est une entreprise coûteuse, et la Russie doit s’assurer qu’elle peut allouer des ressources suffisantes sans compromettre d’autres projets de protection essentiels.

L’intégration des technologies les plus récentes constitue un autre défi. Comme le MiG-41 cherche à incorporer de nombreux systèmes avancés, s’assurer que ces technologies fonctionnent parfaitement ensemble n’est pas une mince affaire. Des opérations rigoureuses d’essai et de validation seront nécessaires pour atteindre l’état de préparation opérationnelle.

Les sanctions mondiales et les tensions géopolitiques pourraient également influer sur le développement du MiG-41. Les contraintes qui pèsent sur l’utilisation de certaines technologies et de certains composants pourraient nécessiter une plus grande autonomie et des progrès au sein de l’industrie de défense russe.

En ce qui concerne l’avenir, le MiG-41 a le potentiel de changer le combat aérien et la défense des flux aériens. S’il est développé avec succès, il permettra non seulement d’améliorer les caractéristiques militaires de la Russie, mais aussi d’établir de nouvelles spécifications dans la technologie moderne des avions de chasse mma. Au fur et à mesure que la tâche progresse, le monde entier suivra de près la manière dont la Fédération de Russie relèvera les défis et reconnaîtra la vision engagée du MiG-41.

Le développement de l’avion de chasse MiG-41 représente un saut audacieux dans la voie de la guerre aérienne. Avec sa vitesse, sa furtivité et son armement sophistiqué, le MiG-41 est en passe de devenir la pierre angulaire de la technique de défense aérienne de la Russie. Même si des problèmes subsistent, la reconnaissance du MiG-41 marquera un succès significatif dans l’aviation militaire, renforçant la position de la Russie en tant que grande puissance militaire mondiale.

Soutien à la diversité viticole

Dans un monde où l’admiration du vin transcende la simple consommation pour devenir une forme d’art, la connaissance des certifications des vins revêt une grande importance. Ces certifications servent de boussole pour guider les amateurs et les spécialistes dans le paysage complexe du vin. Au-delà des étiquettes et des arômes, elles représentent une mine d’informations, de traditions et de confiance en la qualité. Cet essai explore les nombreux avantages qui découlent de la compréhension des qualifications du vin, allant de l’assurance du consommateur à la protection des traditions culturelles et à la promotion de la durabilité.

L’un des principaux avantages de la compréhension des accréditations pour le vin réside dans le renforcement de l’assurance du consommateur. Les certifications telles que l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) en France ou la Denominazione di Origine Controllata (DOC) en Italie signalent l’adhésion à des normes strictes relatives aux cépages, aux procédures de vinification et à l’origine géographique. Pour les consommateurs, ces certifications sont des gages de qualité qui leur garantissent l’authenticité du vin et le respect des méthodes traditionnelles. En comprenant ces certifications, les acheteurs peuvent prendre des décisions éclairées et choisir en toute confiance des vins qui correspondent à leurs préférences et à leurs objectifs personnels.

Le vin est plus qu’une simple boisson ; il incarne des centaines d’années d’héritage ethnique et de tradition. Pour connaître les certifications des vins, il faut se pencher sur l’importance historique, géographique et sociale des différentes régions viticoles. Par exemple, l’inscription au patrimoine communautaire de l’UNESCO des vignobles de Bubbly en France souligne l’importance culturelle de la production de vin rouge dans certaines régions. En appréciant les qualifications telles que la DOCG (Denominazione di Origine Controllata e Garantita) en France, qui désigne les vins de la plus haute qualité et authenticité, qu’est-ce que l’appellation d’origine contrôlée AOC les individus contribuent à la préservation de ces héritages culturels. En outre, le fait de connaître le contexte culturel dans lequel s’inscrivent les certifications des vins rouges améliore le plaisir et la gratitude que l’on éprouve à déguster un vin.

Depuis peu, l’industrie du vin met de plus en plus l’accent sur la durabilité. Connaître les certifications telles que l’étiquetage des vins biologiques, biodynamiques ou durables permet aux consommateurs de faire des choix respectueux de l’environnement. Les certifications biologiques et naturelles, par exemple, garantissent que les vins sont produits sans pesticides, herbicides ou engrais d’origine humaine, ce qui réduit l’impact sur l’environnement. De même, les certifications biodynamiques englobent des pratiques de jardinage holistiques qui donnent la priorité à la biodiversité et à la santé de la terre. En comprenant et en soutenant ces certifications, les consommateurs jouent un rôle crucial dans la promotion de pratiques de production de vin respectueuses de l’environnement et dans la sauvegarde de la santé de la planète pour les générations futures.

Les certifications pour le vin servent de marqueurs d’assurance qualité et de différenciation sur un marché encombré. Pour les viticulteurs, l’obtention de qualifications telles que la classification Grand Cru en Bourgogne ou la désignation Reserva en Espagne témoigne de leur volonté d’atteindre l’excellence. La compréhension de ces certifications permet aux consommateurs de faire la distinction entre des vins de qualité et de prix différents. En outre, les accréditations indiquent souvent des techniques de création ou des besoins de vieillissement spécifiques, ce qui donne une idée du profil de saveur du vin et de son potentiel de vieillissement. Forts de ces connaissances, les acheteurs peuvent parcourir en toute confiance l’éventail des vins disponibles et sélectionner des contenants qui répondent à leurs préférences et à leurs attentes personnelles.

Au fond, la compréhension des certifications pour les vins améliore l’enseignement du vin et la reconnaissance. Se plonger dans les subtilités des différentes techniques de certification permet d’élargir sa compréhension de la viticulture, des stratégies de vinification et des influences locales. Qu’il s’agisse d’étudier l’importance du terroir dans la catégorie de vin ou le rôle du vieillissement dans la formation des profils de goût, les certifications fonctionnent comme des ressources éducatives qui permettent d’approfondir l’appréciation de l’art et de la science de la vinification. Les amateurs de vin qui consacrent du temps à la compréhension des certifications développent généralement un palais plus perspicace et une meilleure capacité à exprimer leurs expériences gustatives, ce qui enrichit leur appréciation générale du vin.

Les certifications des vins peuvent également jouer un rôle crucial en soutenant les petits producteurs et en promouvant l’assortiment au sein de l’industrie. Des appellations telles que le label Vigneron Indépendant en France mettent en valeur les vins créés par des exploitations viticoles familiales et autosuffisantes. En comprenant et en recherchant ces certifications, les consommateurs peuvent aider activement les fournisseurs artisanaux qui maintiennent des pratiques de vinification traditionnelles et contribuent à la préservation de la diversité culturelle dans la production de vin. En outre, les certifications telles que Fair Business ou Licensed B Corporation témoignent de méthodes de travail éthiques et d’un engagement communautaire, offrant aux consommateurs l’assurance que leurs achats contribuent à un impact sociétal positif.

La compréhension des certifications pour les vins offre une multitude de récompenses qui vont bien au-delà de la bouteille. Qu’il s’agisse de renforcer la confiance des consommateurs, de préserver l’héritage social ou de promouvoir le développement durable, les certifications sont les piliers de l’assurance qualité et de l’authenticité dans le monde du vin. En se plongeant dans les subtilités des techniques de certification, les consommateurs et les professionnels peuvent prendre des décisions éclairées, favoriser les procédures éthiques et durables et approfondir leur admiration pour la riche mosaïque de vins accessibles. En somme, connaître les certifications des vins ne se résume pas à déchiffrer les étiquettes, mais à entamer un voyage de découverte, d’illumination et de plaisir.

Un traité de compréhension de Kames

L’approche et la réflexion doivent être concernées dans nos temps complexes. J’aimerais parler de l’esprit puissant d’Henry Home ou de Lord Kames, avocat, agronome et philosophe. Kames était connu comme membre du club en 1724 et a été employé comme juge au sein de la Cour d’époque en 1752. Il est devenu seigneur de justice en 1763. Il est surtout connu pour ses Éléments de critique, 3 vol. (1762), une œuvre exceptionnelle dans l’histoire de l’esthétique en raison de sa tentative d’assimiler la beauté à ce qui est agréable pour les sens naturels de la vue et de l’écoute. Henry Home, plus tard Lord Kames, qui a aidé à revigorer la société, commence le premier de ces articles publiés (« De la réglementation du mouvement ») d’une manière qui fournit une déclaration semblable à un manifeste pour les activités de la société : « Rien n’a beaucoup plus philosophie perplexe qu’un penchant malheureux, qui nous fait comprendre aux principes sans égard aux détails et aux expériences. Une page plus loin, cependant, il fournit une pensée à l’appui : « Les faits et les tests sont du bois sans valeur alors que nous ne devons généralement pas leur causer, ni en tirer aucune conséquence. » Les autres documents collectés par la société comprennent de nombreux basés sur la dissection physique du corps humain; ils se composent également d’un autre, daté du 22 décembre 1755, « rendant compte de l’agitation des eaux du Loch Ness autour du 1er novembre 1755, lorsque la ville de Lisbonne a été ruinée par un tremblement de terre », et un article de Franklin a envoyé un avis à Hume « sur la technique de sécurisation des maisons de vos résultats de Super ». En plus du lien avec Franklin, la société a montré ses ambitions à une place dans le firmament international en élisant Voltaire membre étranger au milieu des années 1740. La variété de l’activité mentale est évidente, tout comme l’accent mis sur les techniques empiriques et l’application de ce type de compréhension comme « informations utiles ». Ce concept avait de l’argent à la fois dans la culture philosophique américaine, fondée en 1743 sous l’impulsion de Franklin, ainsi que dans la culture noble d’Édimbourg, fondée en 1783 une fois la société philosophique d’Édimbourg dissoute pour en tirer des moyens. Ce type d’aspiration et de proposition utilisant l’avancement de la compréhension n’était en aucun cas limité à Édimbourg, et même en Écosse, des sociétés comparables étaient disponibles à Glasgow et à Aberdeen. Cependant, la puissance de l’engagement à Édimbourg, ainsi que le génie du résultat, étaient tout à fait uniques. Henry House, Lord Kames, peut être distingué de plusieurs autres chiffres importants pour illustrer la flexibilité caractéristique de l’époque. Il avait été juge, intéressé par l’idée et l’histoire du droit, un réformateur agricole en théorie et en exercice, un commissaire des Forfeited Estates (des rebelles de 1745) et un membre de la Table of Trustees for Manufactures (qui encourageait les industries écossaises , notamment création de linge de lit). En poésie, il y eut une réaction, peut-être vers l’union – et certainement contre l’assimilation – avec l’Angleterre ; le désir ravivé pour la poésie vernaculaire écossaise de l’histoire fut le héraut de la vague de nouvelle poésie vernaculaire, qui culmina dans les satires de Robert Fergusson ainsi que les paroles de Robert Burns up. Certains des plus grands poètes gaéliques, comme Alexander MacDonald, écrivaient également actuellement.

La fin de la guerre du Vietnam

La fin de la guerre du Vietnam en 1975 marqua la conclusion d’un conflit long et sanglant qui a duré près de deux décennies, impliquant de manière significative les États-Unis, le Nord et le Sud Vietnam, ainsi que d’autres acteurs internationaux. Ce conflit est souvent perçu comme un symbole des limites de la puissance militaire américaine et a eu des répercussions profondes tant pour les États-Unis que pour le Vietnam.

Le 30 avril 1975, Saïgon, la capitale du Sud Vietnam, est tombée aux mains des forces du Nord Vietnam, marquant la fin officielle de la guerre. Cette chute a été précédée par une série d’événements qui ont signalé un changement irréversible dans le cours de la guerre, notamment l’accord de paix de Paris de 1973 qui a conduit au retrait des troupes américaines et à une cessation temporaire des hostilités.

La fin de la guerre a été caractérisée par des images désormais célèbres de l’évacuation désespérée des derniers Américains et de certains Vietnamiens du Sud depuis l’ambassade américaine à Saïgon, symbolisant la fin tumultueuse de l’engagement américain au Vietnam. Les dernières images de l’évacuation, avec des hélicoptères décollant du toit de l’ambassade, sont restées gravées dans la mémoire collective comme un symbole de la défaite et du désespoir.

Les conséquences de la guerre du Vietnam ont été dévastatrices pour les deux parties. Le Vietnam a été laissé en ruines, avec des millions de Vietnamiens et plus de 58 000 soldats américains morts, sans compter les innombrables blessés et traumatisés. Les effets écologiques, notamment l’usage de l’Agent Orange et d’autres herbicides, ont eu des impacts à long terme sur la santé et l’environnement du Vietnam.

La guerre a également laissé des cicatrices profondes sur la psyché américaine, modifiant la perception de l’intervention militaire américaine à l’étranger et contribuant à une période de cynisme et de remise en question des institutions. Elle a également alimenté des mouvements sociaux importants, notamment l’opposition à la guerre et un mouvement plus large pour les droits civiques et contre l’establishment.

Sur le plan politique, la fin de la guerre a vu la réunification du Vietnam sous le régime communiste du Nord, marquant la fin de la longue lutte pour l’indépendance et l’unification du Vietnam. Cependant, la victoire a été amère, car le pays a été isolé économiquement et politiquement pendant de nombreuses années à venir.

Pour les États-Unis, la guerre du Vietnam a entraîné une reconsidération de sa politique étrangère et militaire, notamment avec la mise en place de la doctrine Nixon qui appelait à une plus grande responsabilité des alliés des États-Unis pour leur propre défense. De plus, le Congrès a adopté le War Powers Act en 1973 dans le but de rééquilibrer les pouvoirs entre le Congrès et le président en matière de décisions de guerre.

En conclusion, la fin de la guerre du Vietnam en 1975 a marqué un tournant majeur dans l’histoire du 20e siècle. Elle a mis fin à une ère de conflit et d’interventionnisme américain en Asie du Sud-Est, tout en laissant derrière elle un héritage complexe de douleur, de traumatisme et de remise en question politique et sociale. Le Vietnam a mis des décennies à se remettre des ravages de la guerre, tandis que les États-Unis ont dû faire face aux répercussions d’un conflit qui a profondément divisé la nation et remis en question sa place et son rôle dans le monde.

la magie du travail d’équipe

Dans le paysage captivant du Canada, au milieu de la tranquillité de la nature, je me suis embarqué dans un voyage transformateur de consolidation d’équipe, orchestré par l’entreprise estimée Tematis. Cette expérience n’était pas seulement une question d’agenda d’entreprise ou de réseautage ; il s’agissait d’une exploration immersive de la camaraderie et de la synergie, où les individus convergeaient pour former des équipes cohésives liées par des expériences distribuées et un soutien mutuel.

Dès le départ, le concept de renforcement de l’esprit d’équipe a imprégné tous les aspects de l’événement, lui insufflant un sentiment d’objectif et d’unité. Au fur et à mesure que les participants, issus de milieux et de départements différents, se rassemblaient, le décor était planté pour une expérience de collaboration qui nous entraverait à la fois individuellement et collectivement.

Ce qui m’a le plus frappé dans l’approche de Tematis en matière de développement d’équipe, c’est l’accent mis sur l’apprentissage par l’expérience. Plutôt que de s’appuyer sur des cours traditionnels ou des routines d’entraînement artificielles, nous avons été plongés dans des scénarios du monde réel qui exigeaient de l’aide et la résolution de problèmes. Qu’il s’agisse de naviguer dans une jungle dense ou d’entreprendre des compétitions sportives de haute intensité, chaque activité a servi de catalyseur pour resserrer les liens au sein de l’équipe et favoriser l’épanouissement personnel.

L’une des difficultés les plus mémorables a consisté à naviguer dans une forêt en se servant uniquement d’une carte routière et d’une boussole. D’abord insurmontable, cette tâche est devenue un témoignage de la puissance du travail d’équipe, car nous avons communiqué efficacement, tiré parti des forces de chacun et surmonté les obstacles ensemble. À la fin, nous n’avions pas seulement relevé le défi avec succès, mais nous avions aussi forgé des liens beaucoup plus profonds, fondés sur la confiance et le respect réciproque.

Un autre aspect remarquable de l’expérience Tematis a été sa capacité à faire tomber les barrières hiérarchiques au sein de l’entreprise. Dans l’environnement immersif de la construction d’un équipage, les actions, les titres et les rôles sont passés à l’histoire, laissant place à une éthique plus égalitaire où chaque ton de voix est apprécié. Cet égalitarisme a favorisé une communication et une collaboration ouvertes, nous permettant d’exploiter tout le potentiel de notre intellect collectif.

En outre, team building la beauté naturelle du Canada a servi de toile de fond à l’introspection et à la découverte de soi. Loin des limites du bureau, je me suis retrouvée immergée dans la tranquillité de la nature, offrant un environnement parfait pour la réflexion. Beaucoup d’entre nous ont vécu des moments de clarté et de connaissance au milieu de paysages à couper le souffle, retrouvant un sentiment d’utilité et d’orientation.

Au-delà des défis et des moments d’introspection, ce qui a véritablement rendu l’expérience Tematis mémorable, c’est le sentiment de communauté qu’elle a favorisé. Les liens noués au cours des activités de renforcement de l’équipe ont transcendé les relations professionnelles, évoluant vers de véritables amitiés enracinées dans des rencontres partagées. Les soirées passées autour du feu de camp ont été riches en rires et en histoires, forgeant des liens qui pourraient perdurer longtemps après la fin de l’événement.

Avec le recul, je suis frappée par l’influence profonde qu’a eue sur moi l’expérience de création de l’équipe Tematis. Il ne s’agissait pas seulement de renforcer les équipes, mais aussi de favoriser un sentiment d’unité et d’appartenance qui transcende les limites du lieu de travail. Les enseignements reçus et les liens tissés continuent de résonner, rappelant le pouvoir de la collaboration et du travail d’équipe dans la réalisation d’objectifs communs.

Mon voyage avec Tematis au Canada a été une preuve du pouvoir de transformation du développement de l’équipe. Grâce à des défis innovants, une communication ouverte et un engagement à encourager l’unité, Tematis a réussi à nous rassembler en un groupe cohésif. En réfléchissant à mon expérience, je suis pleine de gratitude pour les amitiés nouées et la formation apprise, et je comprends que je suis apparue non seulement comme un meilleur membre du groupe, mais aussi comme un individu plus robuste, prêt à relever tous les défis qui l’attendent.

Un itinéraire d’événement d’entreprise à Lisbonne

Lisbonne, la capitale portugaise baignée de soleil, est une ville qui allie rapidement le charme traditionnel à la sophistication moderne. Sa riche histoire, sa culture vivante et sa cuisine alléchante en font une excellente destination pour les activités de groupe ou d’entreprise. Cet essai se penche sur l’expérience de l’identification de Lisbonne et de sa gastronomie lors de telles activités.

Lorsque vous descendez de l’avion au terminal de l’aéroport Humberto Delgado, In Lisbonne l’attrait de Lisbonne est immédiatement palpable. La ville vous accueille avec ses bâtiments colorés décorés d’azulejos (carreaux traditionnels portugais), ses routes labyrinthiques qui résonnent des mélodies du fado et les parfums alléchants de la cuisine portugaise traditionnelle qui flottent dans l’air.

La première étape de tout événement d’entreprise devrait être une action de consolidation d’équipe qui permette aux participants de s’impliquer dans la tradition locale. Une chasse au trésor dans le quartier historique de l’Alfama, la plus ancienne communauté locale de Lisbonne, est un moyen amusant et engageant d’explorer la ville. En empruntant des routes étroites et des escaliers escarpés, les équipes peuvent découvrir des indices cachés au milieu de maisons anciennes et de points de vue époustouflants sur la ville. Ce voyage encourage non seulement le travail d’équipe, mais il permet aussi de découvrir le riche passé et l’attrait architectural de la ville.

Après la chasse au trésor, il est temps de découvrir la scène culinaire de Lisbonne, qui est aussi variée que délicieuse. La ville compte un grand nombre de restaurants, des étoilés Michelin aux tascas (petits restaurants décontractés), qui proposent des plats portugais classiques et des cuisines du monde entier.

Une école de cuisine en groupe constitue une excellente activité de consolidation d’équipe, où les participants peuvent apprendre à préparer des plats portugais classiques sous les conseils d’un chef de la communauté. Cette expérience pratique permet aux participants de partager la tâche de préparer un repas, ce qui favorise un sentiment de camaraderie tout en offrant un aperçu de la gastronomie locale.

Au cœur des plats portugais se trouve une fascination pour les ingrédients frais et de proximité. Des poissons et crustacés succulents pêchés dans l’océan Atlantique aux fruits et légumes les plus doux cultivés dans le sol fertile du Portugal, la qualité des produits est évidente dans chaque bouchée.

Un repas normal peut commencer par des « Pastéis de Bacalhau », des gâteaux de morue frits qui sont un standard de la cuisine portugaise. Pour le plat principal, les participants peuvent savourer l' »Arroz de Marisco », un délicieux plat de riz à base de poisson et de crustacés qui regorge de homard, de crevettes, de palourdes et de moules. Et aucun repas portugais ne sera complet sans « Pale de Nata », une tarte à la crème très appréciée des habitants et des visiteurs.

Pour une expérience gastronomique authentique, un événement d’entreprise peut inclure la visite d’une maison de fado dans le quartier de Bairro Alto. Les participants pourront y déguster un somptueux dîner accompagné de musique de fado en direct, un genre qui stimule l’esprit et qui est l’une des pierres angulaires de la tradition portugaise. La combinaison de mets délicieux et de musique émouvante produit une rencontre mémorable qui laisse une impression durable.

Une autre façon originale de découvrir la gastronomie de Lisbonne est de se rendre au Mercado da Ribeira, également connu sous le nom de Time Out Market. Cette salle de repas animée abrite une variété d’étals servant un éventail de plats portugais. C’est un excellent endroit pour se rencontrer et goûter à différents plats, des succulents sandwichs « Prego » aux fruits de mer les plus frais.

Mais Lisbonne ne se limite pas à la gastronomie. La ville offre également de nombreuses possibilités d’activités de développement de l’équipage qui répondent à un certain nombre d’intérêts. Qu’il s’agisse d’une excursion en voilier sur le Tage, d’un trajet en tramway à travers les quartiers historiques de la ville ou d’une séance de yoga en équipe dans l’un des magnifiques parcs de la ville, il y en a pour tous les goûts.

Lisbonne constitue la toile de fond idéale pour organiser un événement d’entreprise combinant la constitution d’un groupe et l’immersion culturelle. L’arrière-plan captivant de la ville, sa culture vibrante et sa cuisine délectable offrent un éventail de rencontres qui font participer et motivent. Qu’il s’agisse de visiter les sites historiques de la ville, de préparer un festin portugais ou simplement d’apprécier la gastronomie locale, les participants quitteront Lisbonne avec un lien plus profond avec leurs collègues et une fascination nouvelle pour cette ville enchanteresse.

Climat: ne pas inlassablement taxer

Cela fait un bon moment que je résiste à expliquer pourquoi j’ai trouvé les problèmes de prix du carbone et de taxation du CO2 si difficiles. Je crois que le temps de traiter ces questions est arrivé. À la base, la principale raison pour laquelle je n’aime pas chacune de ces pensées est qu’elles sautent le but des problèmes météorologiques. Tout ce qu’ils présupposent, c’est le fait que nous pouvons apprécier notre solution à la situation des polluants que nous connaissons aujourd’hui menace la voie à suivre pour l’existence dans le monde. Et le fait incontournable est que nous ne pouvons pas faire cela. Il n’y a absolument aucun moyen que nous puissions être valorisés hors de ce problème. Nous ne pouvions résoudre la crise des émissions qu’en arrêtant les polluants. Et les taxer ne le fera pas, pas plus que le défi de la cigarette n’a en fait arrêté de fumer. D’autres mesures – comme les interdictions – ont déjà été nécessaires pour améliorer cet objectif. Ce qui est beaucoup plus vrai pour le CO2. De manière tout aussi importante, l’essentiel est le fait que ce que suggèrent également les arguments de la taxe sur le carbone et de la valeur du CO2 est que l’entreprise peut continuer à fournir des articles donnant du carbone comme juste avant, mais que ces articles subiront juste un différentiel de valeur par rapport à une réduction ou à une faible -le CO2 dégageant des produits et ce sur quoi nous devrions alors compter, c’est le mécanisme de prix du marché pour modifier les besoins des acheteurs. Je suggère que la logique est fausse. Tout d’abord, cela suppose qu’il n’y a aucune obligation pour vos problèmes climatiques de détente chez les producteurs des produits qui nous ont plongés dans ce chaos. C’est indubitablement faux. Ce sont principalement à blâmer. Ils notent depuis des décennies ce qu’ils font en ce qui concerne les polluants de dioxyde de carbone et ont continué de le faire indépendamment. Et que nous pourrions être très certains qu’ils pourront continuer à le faire à long terme s’ils peuvent achever le blâme sur nous en tant que clients qui, diront-ils, montrent clairement que nous continuons à vouloir leur pollution et leur danger de mort les produits si nous les achetons toujours après la taxation du dioxyde de carbone sont en sus. Ce que cela ignore, c’est le fait qu’une grande partie de ce désir sera motivée par une insuffisance d’options, que les entreprises peuvent ne pas avoir de bonus sur le marché s’il y a des taxes sur le revenu en carbone, et que les actions des consommateurs sont de toute façon grandement influencées par la conduite des prestataires via le marketing avec d’autres activités qui faussent le marché. Deuxièmement, cette supposition suppose que les gens, en tant que clients, en savent beaucoup sur les produits que nous achetons comme les gens qui les commercialisent. En fait, les partisans des taxes sur le carbone et du commerce du carbone présument que nous pourrions porter des jugements logiques et éclairés sur cette préoccupation juste après que les taxes soient ajoutées à un coût. Mais c’est clairement idiot. Les fabricants de produits ont reconnu énormément plus l’impact du CO2 des articles qu’ils peuvent réaliser par rapport à un acheteur. Les asymétries impliquant les deux sont énormes. Dans ce cas, présumer que le consommateur pourrait faire une sélection éclairée sur ce type de problème, même si un impôt sur le revenu est en sus, est tout simplement faux. Et troisièmement, il n’y a pas de marché pour le carbone. Il n’y en a jamais eu. C’est une création fictive qui prétend que quelque chose sera fait alors que ce n’est certainement pas correct. Personne ne veut obtenir ou vendre du CO2. C’est une externalité qui ne peut pas être évaluée. C’est en partie parce que personne n’en veut. Cette qualité élevée et importante d’un marché – un acheteur prêt – ne peut pas être trouvée. Mais c’est aussi parce que vous n’êtes pas en mesure de fixer le prix d’une chose qui, selon nous, doit être inaccessible au marché. Un marché suppose qu’il y aura du désir. Le fait est que nous devons supprimer ce désir de garantir la vie sur la planète. Les esprits qui imputent également les impôts sur le revenu et les prix du dioxyde de carbone sont donc incorrects. Mais la taxe sur le carbone est également incorrecte dans la pratique. Tout d’abord, c’est parce que personne ne nie que ceux-ci seront régressifs, car toutes les taxes d’utilisation sont et cela devrait également devenir des taxes d’utilisation. Ensuite, c’est parce que cela signifierait que toute taxe sur le dioxyde de carbone devra être coordonnée par redistribution via d’autres mécanismes fiscaux et d’avantages, neutralisant principalement son effet et faisant de tout une folie. Et troisièmement, si le but des taxes sur le CO2 était de créer un compte pour la redistribution au-delà des limites mondiales afin que les polluants de CO2 dans les pays en développement puissent gérer leurs préoccupations énergétiques que l’huile essentielle ne se produise pas a) en raison du fait politique qui est proche difficile à réaliser avec l’impôt sur le revenu et b) il y aura peu ou peut-être pas d’impôt sur le revenu à redistribuer pour les raisons que vous avez déjà observées. L’impôt sur le revenu est certainement un point étonnant, mais il y a quelques emplois qu’il ne peut pas atteindre et c’est aussi l’un d’entre eux.